Introduction: les Données concernant l’impact de l’amphétamine sur les fonctions sexuelles masculines sont limitées, bien que l’amphétamine a été utilisé comme un aphrodisiaque.
Objectifs: Cette étude transversale était d’évaluer l’impact de l’utilisation illicite d’amphétamine sur les fonctions sexuelles masculines.,
méthodes: les utilisateurs masculins de drogues illicites dans un centre D’Abstention et de traitement de drogues ont été recrutés pour remplir un questionnaire auto-administré, et les données ont été comparées avec des témoins appariés selon l’âge.
principales mesures des résultats: L’indice international de la fonction érectile (IIEF) et les questions d’évaluation globale ont été utilisées pour évaluer les fonctions sexuelles.
résultats: sur 1 159 utilisateurs de drogues mono-illicites d’amphétamine, l’âge moyen était de 31,9 ± 7,5 (18-57) ans et la durée moyenne de consommation de drogues était de 30,7 ± 52,2 (médiane 9, plage de 0,1 à 252) mois., La moitié d’entre eux ont déclaré que la consommation de drogues n’avait aucun impact sur leurs fonctions sexuelles. L’autre moitié a signalé des effets de la drogue comme une rigidité érectile réduite et une satisfaction de la vie sexuelle, une intensité orgasmique accrue et un temps de latence de l’éjaculation prolongé plus souvent que les effets opposés, alors qu’ils ont signalé un effet amélioré ou réduit également sur le désir sexuel. La fréquence de dosage de l’amphétamine était associée à son impact sur les fonctions sexuelles, mais la durée de son utilisation avait peu d’association avec cela., Par rapport à 211 témoins appariés selon l’Âge, Les utilisateurs de drogues mono-illicites d’amphétamine avaient des scores IIEF inférieurs dans les domaines de la fonction érectile, de la fonction orgasmique et de la satisfaction globale, mais il n’y a pas de différences significatives dans les scores de satisfaction sexuelle et de désir sexuel. La prévalence de la dysfonction érectile (De) était significativement plus élevée chez les toxicomanes que chez les témoins (29,3% contre 11,9%). Le rapport de cotes de L’ED pour l’utilisation d’amphétamines était de 2,1 (intervalle de confiance à 95% 1,2-3,6) après ajustement pour d’autres facteurs de risque.,
Conclusions: l’impact de l’usage illicite d’amphétamine sur les fonctions sexuelles masculines variait selon les utilisateurs, et leur prévalence de la dysfonction érectile était plus élevée que celle des témoins.