Le Manoir LaLaurie, situé au 1140 Royal Street, New Orleans, Louisiana, est célèbre comme le site de la torture et le meurtre d’un certain nombre de personnes réduites en esclavage appartenant à Marie Delphine Macarty qui était communément connue sous le nom de madame Lalaurie. En 1832, Lalaurie, une mondaine de la Nouvelle-Orléans, et son troisième mari, le Dr., Leonard Louis Nicolas LaLaurie, construit la structure de trois étages pour accueillir leur famille, y compris deux enfants.
comme c’était la coutume à la Nouvelle-Orléans à cette époque, les noirs réduits en esclavage étaient gardés dans des quartiers attachés. Les esclaves de LaLaurie étaient gardés dans des conditions horribles, même selon les normes de traitement des esclaves, et étaient généralement à moitié affamés. En dépit de leur traitement, Madame LaLaurie était connue en public pour être polie avec les noirs, et les archives judiciaires montrent qu’elle manumitted deux de ses esclaves., Quoi qu’il en soit, des rumeurs se répandent sur les mauvais traitements infligés par la famille à leurs esclaves, ce qui provoque une enquête officielle en 1832. Un avocat local s’est rendu au manoir pour enquêter sur les allégations de mauvais traitements infligés aux esclaves LaLaurie. Il n’a trouvé aucun acte répréhensible.
cependant, des histoires de mauvais traitements ont persisté, y compris des récits qui ont été partagés avec Harriet Martineau, l’éminente écrivaine anglaise du XIXe siècle qui a visité la ville en 1833. Un récit décrit Madame LaLaurie comme étant devenue enragée lorsqu’une esclave de douze ans nommée Leah a accidentellement frappé un accroc en peignant les cheveux de LaLaurie., LaLaurie a poursuivi la fille autour de la pièce avec un fouet jusqu’à ce que l’enfant saute du balcon à sa mort. Léa a été enterrée derrière le terrain du manoir, et LaLaurie a été reconnue coupable d’avoir cruellement abusé de ses esclaves et forcée de renoncer à ses neuf bondspeople restants. Les esclaves ont été emmenés et devaient être vendus aux enchères publiques, mais LaLaurie a persuadé un parent d’acheter les travailleurs réduits en esclavage et de les rendre au manoir.
Le 10 avril 1834, un incendie se déclare dans la cuisine du Manoir LaLaurie., Lorsque la police et les pompiers sont arrivés, ils ont trouvé une femme de soixante-dix ans, la cuisinière de la famille, enchaînée au poêle. Elle a avoué plus tard qu’elle avait intentionnellement mis le feu comme une tentative de suicide parce qu’elle craignait que Madame LaLaurie avait l’intention de l’emmener dans la salle de torture en guise de punition. Le cuisinier a affirmé que toute personne emmenée à l’étage dans la chambre n’est jamais revenue. Ce récit, rapporté dans la presse locale, a conduit des passants le lendemain à exiger que la salle de torture soit inspectée. Lorsque les LaLauries leur ont refusé l’entrée, ils ont brisé les portes et ont trouvé sept corps d’esclaves mutilés., Certains ont été pendus, d’autres ont été étirés à leurs membres, et d’autres encore manquaient des parties du corps. Une vieille esclave survivante avait une blessure à la tête qui la rendait trop faible pour marcher.
lorsque la découverte de la salle de torture est devenue largement connue, une foule a attaqué le manoir LaLaurie. Les esclaves survivants ont été sauvés et amenés dans une prison locale pour un visionnement public macabre par Plus de quatre mille résidents de la Nouvelle-Orléans. Les enquêteurs ont ensuite trouvé plusieurs corps, dont un enfant, enterrés dans tout le Parc du manoir.,
Madame LaLaurie et sa famille se sont échappées du manoir juste avant que la foule n’en prenne le contrôle. Ce qu’ils ont fait pour les quinze prochaines années n’est pas claire. On sait que Marie Delphine Macarty LaLaurie est décédée à Paris, en France, le 7 décembre 1849. Le manoir dans lequel LaLaurie a vécu est maintenant un point de repère du quartier français à la Nouvelle-Orléans.