examen par le ministère de la JUSTICE de l’article 230 de la Loi sur la décence des COMMUNICATIONS de 1996

le Ministère a identifié quatre domaines susceptibles d’être réformés:

1. Inciter les plateformes en ligne à S’attaquer au contenu illicite
la première catégorie de réformes potentielles vise à inciter les plateformes à s’attaquer à la quantité croissante de contenu illicite en ligne, tout en préservant le cœur de L’immunité pour diffamation prévue à l’article 230.

A. mauvais Samaritain tailler-Out. , Premièrement, le Ministère propose de refuser l’immunité prévue à l’article 230 aux acteurs vraiment mauvais. Le titre de la disposition sur l’immunité de L’article 230— »Protection du blocage et du filtrage du matériel offensant”—indique clairement que L’immunité de l’article 230 vise à encourager et à protéger les plateformes en ligne responsables. Il est donc peu logique d’immuniser de la responsabilité civile une plate-forme en ligne qui facilite ou sollicite délibérément du contenu ou des activités de tiers qui violeraient le droit pénal fédéral.

B. tailler-Outs pour la maltraitance des enfants, le terrorisme et le cyber-harcèlement., Deuxièmement, le Ministère propose d’exempter de l’immunité certaines catégories de réclamations qui portent sur un contenu particulièrement flagrant, y compris (1) l’exploitation des enfants et les abus sexuels, (2) le terrorisme et (3) le cybertracking. Ces évasions ciblées mettraient un terme à l’extension excessive de l’immunité prévue à l’article 230 et permettraient aux victimes de demander réparation au civil dans des causes d’action éloignées de l’objectif initial du statut.

C. découpages spécifiques à L’affaire pour les connaissances réelles ou les jugements des tribunaux., Troisièmement, le Ministère appuie les réformes visant à préciser que l’immunité en vertu de l’article 230 ne s’applique pas dans un cas précis où une plateforme a effectivement été informée ou avisée que le contenu de tiers en cause enfreignait le droit criminel fédéral ou où la plateforme a reçu un jugement du Tribunal selon lequel le contenu est illégal à quelque égard que ce soit.

2. Clarifier les capacités D’application du gouvernement fédéral pour lutter contre le contenu illégal
Une réforme de deuxième catégorie augmenterait la capacité du gouvernement à protéger les citoyens contre les comportements nuisibles et illicites., Ces réformes montreraient clairement que l’immunité prévue à l’article 230 ne s’applique pas aux poursuites civiles intentées par le gouvernement fédéral. L’exécution civile par le gouvernement fédéral est un complément important aux poursuites pénales.

3. Promotion de la concurrence
Une troisième proposition de réforme vise à préciser que les revendications antitrust fédérales ne sont pas couvertes par l’immunité prévue à l’article 230. Au fil du temps, les moyens de s’engager à la fois dans le commerce en ligne et la parole se sont concentrés entre les mains de quelques acteurs clés., Il est peu logique de permettre aux grandes plates-formes en ligne (en particulier les plates-formes dominantes) d’invoquer L’immunité en vertu de l’article 230 dans les affaires antitrust, où la responsabilité est fondée sur un préjudice à la concurrence, et non sur un discours de tiers.

4. Promouvoir un discours ouvert et une plus grande transparence
Une quatrième catégorie de réformes potentielles vise à clarifier le texte et l’objectif initial du statut afin de promouvoir un discours libre et ouvert en ligne et d’encourager une plus grande transparence entre les plateformes et les utilisateurs.

A. remplacer la terminologie Vague au point c) 2)., Premièrement, le Ministère appuie le remplacement du libellé vague et fourre-tout « autrement répréhensible” de l’alinéa 230C) (2) par « illégal” et « fait la promotion du terrorisme. »Cette réforme concentrerait la large immunité générale pour les décisions de modération de contenu sur l’objectif principal de L’article 230—réduire le contenu en ligne préjudiciable aux enfants—tout en limitant la capacité d’une plate-forme à supprimer du contenu arbitrairement ou de manière incompatible avec ses conditions ou son service simplement en le jugeant « répréhensible. »

B. donner une définition de la bonne foi. , Deuxièmement, le Ministère propose d’ajouter une définition législative de « bonne foi », qui limiterait l’immunité pour les décisions de modération de contenu à celles prises conformément à des conditions de service simples et particulières et accompagnées d’une explication raisonnable, à moins qu’un tel avis ne gêne l’application de la loi ou ne risque de causer un préjudice imminent à autrui. Clarifier le sens de » bonne foi  » devrait encourager les plateformes à être plus transparentes et responsables envers leurs utilisateurs, plutôt que de se cacher derrière des protections générales de L’article 230.

C. outrepasser explicitement Stratton Oakmont pour éviter le dilemme du modérateur. , Troisièmement, le Ministère propose de préciser que le retrait du contenu d’une plateforme en vertu de l’alinéa 230C) (2) ou conformément à ses modalités de service ne fait pas, à lui seul, de la plateforme un éditeur ou un conférencier pour tout autre contenu de son service.

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